La pollution atmosphérique dépasse les niveaux d'alerte depuis plusieurs semaines dans la ville de Rome, qui a interdit pour l’occasion la circulation aux voitures pendant deux jours.
Un article en ligne de La Tribune de Genève, d’après une dépêche AFP, explique les conséquences d’un tel pic de pollution dans la capitale italienne.
Un article en ligne de La Tribune de Genève, d’après une dépêche AFP, explique les conséquences d’un tel pic de pollution dans la capitale italienne.
Privilégier les transports en commun
L’article de La Tribune de Genève explique que « la ville de Rome a annoncé jeudi l'interdiction de toute circulation automobile en journée les 28 et 29 décembre, imitant ainsi une mesure prise à Milan (nord) pour lutter contre une forte et persistante pollution aux particules fines. » Il ajoute que « l'interdiction s'appliquera de 10H00 à 16H00 à tous les véhicules privés, y compris les motos et mobylettes, selon le décret du commissaire extraordinaire Francesco Paolo Tronca, chargé d'administrer la ville depuis la démission du maire début novembre. »
Cependant, « il sera possible d'emprunter les transports en commun -- dont l'état de délabrement énerve particulièrement les Romains -- pendant toute une journée avec un ticket spécial de 1,5 euro. La mesure doit durer deux jours à Rome et trois à Milan. »
Car « la pollution atmosphérique dépasse les niveaux d'alerte depuis plusieurs semaines à Rome, à Milan et dans de nombreuses villes d'Italie, l'absence de vent et de pluie ne parvenant pas à disperser les particules fines. »
Ainsi, à Rome, « la mise en place de la circulation alternée n'a pas donné les effets escomptés, en partie en raison du nombre de véhicules exemptés et du manque de contrôles, qui a favorisé les infractions. »
L’article ajoute que « dans les deux métropoles, les autorités ont également demandé de limiter le chauffage à 18 degrés dans les habitations et les bureaux, à l'exception des hôpitaux et des écoles. »
Cependant, « il sera possible d'emprunter les transports en commun -- dont l'état de délabrement énerve particulièrement les Romains -- pendant toute une journée avec un ticket spécial de 1,5 euro. La mesure doit durer deux jours à Rome et trois à Milan. »
Car « la pollution atmosphérique dépasse les niveaux d'alerte depuis plusieurs semaines à Rome, à Milan et dans de nombreuses villes d'Italie, l'absence de vent et de pluie ne parvenant pas à disperser les particules fines. »
Ainsi, à Rome, « la mise en place de la circulation alternée n'a pas donné les effets escomptés, en partie en raison du nombre de véhicules exemptés et du manque de contrôles, qui a favorisé les infractions. »
L’article ajoute que « dans les deux métropoles, les autorités ont également demandé de limiter le chauffage à 18 degrés dans les habitations et les bureaux, à l'exception des hôpitaux et des écoles. »